samedi 6 septembre 2014

Villes inteligentes: datapolis ou participolis?


Comme l’écrit notre collègue Francis Pisani, la question des villes intelligentes «est mise en avant par des acteurs qui n’inspirent pas toute confiance»
Et il conclue: «personne ne veut vivre dans une ville bête mais personne ne rêve d’être espionné et suivi en permanence» … «à la datapolis que nous proposent les grandes compagnies opposons la participolis plus citoyenne. Et œuvrons pour elle»  et il cite les entreprise  CISCO, IBM, Scheider…. (La Tribune du 5 septembre 2014).