Comme l’écrit notre collègue Francis Pisani, la question des villes 
intelligentes «est mise en avant par des acteurs qui n’inspirent pas 
toute confiance»
Et il conclue: «personne ne veut vivre dans une ville bête mais personne
 ne rêve d’être espionné et suivi en permanence» … «à la datapolis que 
nous proposent les grandes compagnies opposons la participolis plus 
citoyenne. Et œuvrons pour elle»  et il cite les entreprise  CISCO, IBM,
 Scheider…. (La Tribune du 5 septembre 2014).