La Fabrique du 222
Les frères Dominicains ont ouvert à Paris un espace accueillant des activités créatrices inspirées des bonnes pratiques la French Tech: un lieu où se mêlent recherche esthétique, intellectuelle et spirituelle. Artistes, universitaires et chercheurs sont invités à prendre part à des ateliers pour collaborer dans une démarche d’expérimentation. Dans cette fabrique, "Le Cloître ouvert Entreprises" est un espace pour les réunions, les séminaires et autres manifestations professionnelles où les cathogeeks s'inspirent des bonnes pratiques de la French Tech pour faire entrer leur foi dans l'ère connectée.
En effet, en 2015 l'ouverture du jubilé de l'ordre des Dominicains avait généré 20 millions d'interactions via les réseaux sociaux, dont 8 millions de tweets, se plaçant en tête des "trend topics" sur Twitter, en 2016, fêtent leurs 800 ans d'existence, et organisent une «ivénération» des reliques de Saint Thomas d'Aquin à Notre-Dame de Paris pour déposer une intention de prière via un tweet, suivre en vidéo via Périscope…
En dans cette même année 2016, en présence de 500 personnes réunies dans la crypte de l'église Saint-Honoré-d‘Eylau (Paris), quatre créateurs ont présenté leur concept innovateur dans une soirée organisée en direct et tweeté par une start-up, Noé 3.0, spécialisée dans la création de buzz en ligne qui a été retransmise en live sur KTO - l'ambiance pitch de start-up (jeunes gens, jean, sweat, baskets, et chronomètre, mais avec Jésus au centre du business model - ils ont notamment présenté:
1.« Géoconfess », une application pour trouver le prêtre le plus proche: la géolocalisation est mis au service de la confession, les uns donnent leur adresse et leurs disponibilités les autres se connectent et l’application fait le reste.
2.« Hozana », sur le téléphone intelligent est un réseau social destiné à prier ensemble qui compte 76 000 inscrits, depuis l'application on invite ses proches et ses amis à prier ensemble, de même avec la «Quête digitale» on peut donner son aumône durant la messe, une trentaine de paroisses se disent intéressées par «la Quête 2.0» via smartphone, qui vient de lancer une levée de fonds en ligne via la plateforme Credofunding.
3. «Réseau social» non confessionnel sous forme de réseau mobile destiné à aider les SDF et ceux qui les accompagnent: géolocaliser les maraudes façon Waze pour se coordonner, tout en faisant ses comptes rendus via une dictée vocale et qui a été testé par une paroisse parisienne et le Samu social à Grenoble. L'application sera disponible sur Android et iPhone.
4. «Awoun», une plate-forme de recensement des retraites spirituelles.
Les applications pour les catholiques se multiplient et sont le fruit du travail de jeunes entrepreneurs. L'église serait-elle en train de s'adapter à la vie connectée?
En effet, en 2015 l'ouverture du jubilé de l'ordre des Dominicains avait généré 20 millions d'interactions via les réseaux sociaux, dont 8 millions de tweets, se plaçant en tête des "trend topics" sur Twitter, en 2016, fêtent leurs 800 ans d'existence, et organisent une «ivénération» des reliques de Saint Thomas d'Aquin à Notre-Dame de Paris pour déposer une intention de prière via un tweet, suivre en vidéo via Périscope…
En dans cette même année 2016, en présence de 500 personnes réunies dans la crypte de l'église Saint-Honoré-d‘Eylau (Paris), quatre créateurs ont présenté leur concept innovateur dans une soirée organisée en direct et tweeté par une start-up, Noé 3.0, spécialisée dans la création de buzz en ligne qui a été retransmise en live sur KTO - l'ambiance pitch de start-up (jeunes gens, jean, sweat, baskets, et chronomètre, mais avec Jésus au centre du business model - ils ont notamment présenté:
1.« Géoconfess », une application pour trouver le prêtre le plus proche: la géolocalisation est mis au service de la confession, les uns donnent leur adresse et leurs disponibilités les autres se connectent et l’application fait le reste.
2.« Hozana », sur le téléphone intelligent est un réseau social destiné à prier ensemble qui compte 76 000 inscrits, depuis l'application on invite ses proches et ses amis à prier ensemble, de même avec la «Quête digitale» on peut donner son aumône durant la messe, une trentaine de paroisses se disent intéressées par «la Quête 2.0» via smartphone, qui vient de lancer une levée de fonds en ligne via la plateforme Credofunding.
3. «Réseau social» non confessionnel sous forme de réseau mobile destiné à aider les SDF et ceux qui les accompagnent: géolocaliser les maraudes façon Waze pour se coordonner, tout en faisant ses comptes rendus via une dictée vocale et qui a été testé par une paroisse parisienne et le Samu social à Grenoble. L'application sera disponible sur Android et iPhone.
4. «Awoun», une plate-forme de recensement des retraites spirituelles.
Les applications pour les catholiques se multiplient et sont le fruit du travail de jeunes entrepreneurs. L'église serait-elle en train de s'adapter à la vie connectée?
Le Philantro-Lab
Par ailleurs au Living Lab de la Générosité, sous l’égide de l’opérateur du projet (la Compagnie de Phalsbourg), le Philantro-Lab sera le premier incubateur tourné vers la philanthropie, incarnant la nouvelle vocation du lieu du mécénat. Des liens s’y créeront entre mécènes, porteurs de projets, associations et bénévoles pour aider et accélérer le développement de projets philanthropiques à Paris et en France. Un autre lieu de partage d’expériences, de formation et de militantisme en faveur de la générosité, ce lieu accueillera des expositions et conférences, et inclut également deux restaurants animés par Cuisine mode d’emploi(s), un centre de formation qui œuvre pour la réinsertion professionnelle.